Carine Roitfeld et son fashion book, sorti le 13 septembre.
Depuis plusieurs mois la presse modesque nous rabattait les oreilles avec la sortie du livre de Carine Roitfeld, ancienne rédactrice en chef du Vogue France et au top de sa popularité depuis son départ du prestigieux magazine. La sortie de ce livre prometteur était donc prévue pour mi-septembre. A vrai dire, en vrai mouton de mode, je l'attendait moi aussi impatiemment, et après plusieurs jours de recherche, j'ai enfin eu l'occasion de l'avoir en main, de le feuilleter et...j'ai renoncé à l'acheter. Les raisons ?
- c'est un livre magazine, de 344 pages, qui prend de la place et pèse donc lourd.
- sur ces 344 pages, à peu près la moitié sont des publicités.
- 16€ pour admirer des publicités, non merci.
- après un coup d'oeil de quelques minutes, aucune série ne me reste en mémoire, le contenu n'est pas franchement novateur. On peut donc se demander quel est l'apport de ce nouveau support à une offre de magazines conceptuels/artistiques/de mode déjà bien fournie ?
- pour ne pas prendre part et résister au narcissisme et au culte qui entoure la personnalité de Carine Roitfeld (à coup de collaborations avec Mac, ou avec Chanel pour le projet The Little Black Jacket, dont elle apparait d'ailleurs sur la couverture)
Certes, Carine Roitfeld avec ce numéro dédié à la naissance (de sa petite-fille) et à la renaissance (la sienne), surprend avec un côté romantique qu'on ne lui connaissait pas, mais dans un domaine où d'autres sont meilleurs qu'elle (Lula par exemple, à peu près du même format prix/semestriel, mais les publicités en moins, en anglais, avec des articles sur de nouveaux talents et des séries de modes fraîches et ravissantes). Ainsi je ne saisis pas très bien où Carine Roitfeld veut nous emmener, ni l'intérêt de son magazine.
- c'est un livre magazine, de 344 pages, qui prend de la place et pèse donc lourd.
- sur ces 344 pages, à peu près la moitié sont des publicités.
- 16€ pour admirer des publicités, non merci.
- après un coup d'oeil de quelques minutes, aucune série ne me reste en mémoire, le contenu n'est pas franchement novateur. On peut donc se demander quel est l'apport de ce nouveau support à une offre de magazines conceptuels/artistiques/de mode déjà bien fournie ?
- pour ne pas prendre part et résister au narcissisme et au culte qui entoure la personnalité de Carine Roitfeld (à coup de collaborations avec Mac, ou avec Chanel pour le projet The Little Black Jacket, dont elle apparait d'ailleurs sur la couverture)
Certes, Carine Roitfeld avec ce numéro dédié à la naissance (de sa petite-fille) et à la renaissance (la sienne), surprend avec un côté romantique qu'on ne lui connaissait pas, mais dans un domaine où d'autres sont meilleurs qu'elle (Lula par exemple, à peu près du même format prix/semestriel, mais les publicités en moins, en anglais, avec des articles sur de nouveaux talents et des séries de modes fraîches et ravissantes). Ainsi je ne saisis pas très bien où Carine Roitfeld veut nous emmener, ni l'intérêt de son magazine.
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